Mon logement est décidément charmant, j’ai eu un peu de mélancolie après dîner, de me retrouver transplanté. Je me suis peu à peu réconcilié et me suis couché enchanté. Réveillé le lendemain en voyant le soleil le plus gracieux sur les maisons qui sont en face de ma fenêtre. La vue de mon petit jardin et l’aspect riant de mon atelier me causent toujours un sentiment de plaisir. (Journal, 28 décembre 1857)